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L'association BERRY'ING concentre des pratiquants  d'expérience dans diverses disciplines utilisatrices de skatepark. 

 

Conçevoir un skatepark

Votre municipalité souhaite réaliser un projet de skateparck dans le Cher ?

Nous pouvons vous diriger vers les meilleurs maîtres d'oeuvre.

Vos informations ont bien été envoyées !

Avant TOUTE considération de conception et de réalisation,

quelques questions : pourquoi un skatepark ? Qui le demande et quelle est

son utilité citoyenne ?

Si en plus il est agréable à l’œil du spectateur et que l’on a envie

de s’y arrêter pour voir évoluer les skaters même sans en faire,

le pari est gagné haut la main…

Cette notion fait d’ailleurs partie de tout un volet de considérations

“extra-skateboardistiques” plaidant en faveur de la réalisation

d’un skatepark : il peut apporter le bénéfice, notamment chez les

jeunes, des premiers pas dans la vie citoyenne. Pour demander un

équipement public et mener un projet à bien, il faut s’impliquer

dans un groupe, prendre des responsabilités,

discuter avec des élus...

 

 

 

Un skatepark moderne, c’est la reproduction d’une portion

d’environnement urbain dans le but d’y pratiquer le skateboard.

C’est ce que, en France et ailleurs depuis une dizaine d’années,

les institutions commencent à comprendre : petit bout de ville à

lui tout seul, le skatepark doit être aussi divers et varié que la ville

elle-même et s’y intégrer harmonieusement. Il a certes fallu en passer

par les tristes dalles de bitume ou de béton en périphérie

pour que le message passe, mais aujourd’hui, la cause semble

entendue : les municipalités heureuses de leur investissement sont

celles qui ont fait l’effort de comprendre qu’un skatepark n’est pas

qu’un empilement de modules aux formes bizarroïdes, mais bien

le fruit de toute une démarche sportive, artistique, esthétique

et architecturale.

La longévité et l'entretient d'un skatepark. Une Histoire de matériaux.

A quoi doit ressembler un skatepark ?

On peut appréhender cette question à travers la distinction entre deux approches de construction,

deux familles de skatepark : les skateparks modulaires et les

skateparks intégrés

1. Les skateparks “modulaires”

 

Constitué de divers modules pré-fabriqués en bois, métal

ou béton posés sur une dalle préalablement coulée pour l’occasion (ou pire en cas de chute, réalisée en bitume), le skatepark modulaire

peut être adapté à un cahier des charges très spécifique : s’il est en

intérieur et qu’il est réalisé par des entreprises ayant une réelle

expérience en construction bois, à savoir capables de répondre à

des problèmes de “rebond” d’une surface bois qui ne serait pas

correctement soutenue par en dessous, pour ne citer qu’un exemple.

Sur une structure en extérieur – soit l’écrasante majorité des

skateparks publics français – les choses ont tendance à se gâter.

D’abord, les modules lassent vite les usagers qui tendent à les

déserter plus vite (la standardisation constitue un vrai frein

à la créativité) mais surtout, plus pragmatiquement, présentent

un autre inconvénient majeur : des modules, même coffrés,

deviennent caisses de résonance – selon les mêmes principes de

construction que ceux d’une enceinte de chaîne hifi où l’amplification

des sons est au contraire recherchée…

Autre souci de taille pour une municipalité : les modules en

extérieur ont une durée de vie très limitée à cause des

intempéries notamment, moins d’une dizaine d’années en

moyenne. Cela occasionne un entretien de plus en plus exigeant

au fil du temps, voire de nouveaux investissements quand le

skatepark est devenu “imbricolable”. Moins chers à l’achat sur

catalogue, les skateparks modulaires ne constituent pas un modèle

de structure pérenne et finissent par représenter un investissement

au moins égal à celui nécessaire pour un skatepark “intégré”.

 

 

 

2. Les skateparks “intégrés”

 

Le skatepark en béton est depuis plus de 50 ans la seule référence valide pour les skateparks en extérieur,

celle qui épouse peut-être au mieux l’évolution du skateboard

moderne mais embrasse aussi tout un nouvel état d’esprit : contre

les “parks-verrues”, ces structures monoblocs (sol et obstacles

coulés puis intégrés dans un même mouvement) offrent des

possibilités infinies d’intégration paysagère, pour peu qu’ils soient

appréhendés comme de véritables projets architecturaux –

satisfaisant du même coup skaters et spectateurs.

Beaucoup plus présents, pour l’instant, ailleurs en Europe (Belgique,

Suède, Angleterre…), aux États-Unis et en Australie, les skateparks

monoblocs béton ont les faveurs des pratiquants. Sans surprise,

car les entreprises qui en ont fait leur spécialité, en France ou dans

d’autres pays (Espagne, États-Unis), ont la plupart du temps été

montées par des pratiquants chevronnés…

Pourquoi un tel plébiscite ? Outre l’adéquation aux envies

des skaters, garantie par l’expertise d’entrepreneurs-pratiquants

faisant office d’experts, les parks monobloc présentent l’avantage

d’offrir des nuisances sonores minimales – puisque l’intérieur des

obstacles est plein et les structures enfouies ou semi-enfouies – et

surtout, une durée de vie incomparable : au moins 20 ans sans

entretien, si ce n’est un coup de balai à l’occasion – le meilleur

exemple étant le skatepark du Prado à Marseille, toujours bien

présent sur la carte du skate mondial, et construit en 1990 !

En 2010, devant la carte de France des skateparks qui ont réussi

et ceux qui sont boudés, un constat : le skatepark en béton reste la

référence pour les skaters et une solution durable pour les villes.

Nevers

Bois-le-roi

En résumé

A quoi correspondent les niveaux de décibels 

 

Niveau sonore extrêment élevé:

110 dB = rock music, avions de modélisme

106 dB = Roulements de tambour

100 dB = tronçonneuse

90 dB = tondeuse à gazon, outillage de bricolage, circulation de camions, métro

 

Niveau sonore très élevé:

80 dB = réveil, rue encombrée/embouteillée

70 dB = rue passante, aspirateur

60 dB = conversation, lave vaisselle

Niveau sonore modéré:

50 dB = pluie

40 dB = chambre calme

 

Tous les sons supérieurs à 80dB sont considérés potentiellement dangereux pour l'oreille et causeront des dommages irréversibles pour l'oreille interne si l'exposition est prolongée.

  

Un bon exemple de skatepark

Au delas du sport un skatepark est un véritable plus apportant une réelle valeure ajoutée à la ville et aux quartiers où ils sont installés.

Liens et documents utiles

Constructeurs et maîtres d'oeuvre

concevoir un sParck
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